25 septembre 2007
oriental hotel
si l'arc en ciel s'était pérénisé
en aurais-je vraiment aprécié
chaque seconde parrtagée
chaque minute écoulée
toutes ces étoiles rencontrées
toutes filantes, éloignées
qu'un renard a attirées
qu'un faucon a effrayées
le pluie revient du soleil
sans jamais son pareil
et pendant mes veilles
vains reves brisent mon sommeil
mille paysages de reve
me laissent l'ame sans treve
coeur corps en crevent
le bourgeon s'éblouit
de ces fleurs si jolies
de cette vie épanouie
qu'on butine par envie
et quand les pétales s'égrainent
la brise entraine
papillons et saurelles
dans une folie frele
avant qu'il ne grele.
Publicité
Publicité
Commentaires